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Pour plusieurs arrondissements, je commence à arriver au bout des lieux auxquels j'ai pu associer des armoiries.
Si vous avez des idées d'ajouts, n'hésitez pas à m'en faire part,
avec l'onglet "Suggestions".
Merci d'avance.
Par ailleurs, vos commentaires sont toujours les bienvenus.
 
Pour rappel, l'accès rapide et la navigation entre mes différents blogs s'effectuent aisément par l'intermédiaire des icônes reprises systématiquement juste au-dessus du titre principal de chacun des blogs.


Pour rappel aussi, les publications peuvent être postées sur n'importe lequel de ces blogs, selon mon humeur. Pensez à faire un tour régulier sur chacun d'eux.

Blancs-Manteaux (rue des)

Cette très ancienne voie de Paris, reprend depuis la fin du XIIIe siècle le surnom des moines occupant le couvent qui était situé à la hauteur des n° 4 à 10 de la rue.
Pour l'histoire, depuis 1258, le lieu était occupé par les des Servites de Marie, qui en raison de la couleur de habit, étaient surnommés les "Blancs-Manteaux",  En 1274, le Pape suspend l'Ordre. Bien que rétabli quelques années plus tard, leur couvent parisien est attribué à l'Ordre de Saint-Guillaume, dit des "Guillemites". Bien que leur habit fut noir, le précédent surnom demeura attaché au lieu et par extension à ses occupants, qui, jusqu'à ce qu'ils en soient chassés par la Révolution, demeurèrent pour les Parisiens, les "Blancs-Manteaux".

Couvent des Blancs-Manteaux


Monsoreau (square de)

Cette petite voie reçoit en 1971 son nom en référence à La Dame de Monsoreau, le roman d'Alexandre Dumas (la voie débouche d'ailleurs sur la Rue Alexandre Dumas). L'héroïne éponyme du roman est Françoise de Maridor (appelée Diane de Méridor dans le roman), épouse de Charles de Chambes, Comte de Monsoreau et Marquis d'Avoir (appelé dans le roman Brian de Monsoreau).

Françoise de Maridor
( ? -  ? )
Dame de la Fretonnière
Baronne consort de Lucé et Bonnétable (1574), par son premier mariage
puis Comtesse consort de Monsoreau et Marquise consort d'Avoir (1576), par son second mariage



Porte-de-Pantin (avenue de la)

Autrefois portion de la Rue de Paris de la commune de Pantin, cette voie, annexée à la Ville de Paris en 1930, reprend le nom de la porte voisine éponyme.

Pantin
Commune du département de la Seine-Saint-Denis


Michel Ordener

Cette voie est ouverte en 1863. Elle rend hommage à ce général de l'Empire, dont on se souvient surtout par avoir eu la charge d'arrêter le Duc d'Enghien.



Michel Ordener
(L'Hôpital, 2 septembre 1755 - Compiègne, 30 août 1811)
Comte Ordener et de l'Empire (1808)
Général de Brigade (1803), puis Général de Division (1805)
Premier Ecuyer de l'Impératrice (1806)
Sénateur de l'Empire (1806)


Saint-Senoch (rue de)

Cette voie est ouverte à partir de 1906 sur des terrains appartenant à celui qui va lui laisser son nom.

N. Haincque de Saint-Senoch
( ? - ? )


Amiral-Bruix (boulevard de l')

C'est en 1932 que cette section de l'ancienne Rue Militaire, est détachée du Boulevard Lannes, pour rendre hommage à l'un des principaux officiers de la marine militaire de la Révolution et du début de l'Empire. de la sorte, cette voie est l'une des trois sections du "Boulevard des Maréchaux" à ne pas être dédiée à un Maréchal de l'Empire.


Etienne Eustache (de) Bruix
(Fort-Dauphin, 1759 - Paris, 18 mars 1805)
Contre-Amiral (1797), puis Vice-Amiral (1799), puis Amiral (1801)
Ministre de la Marine (1798)
Conseiller d'Etat (1802)


Dombasle (impasse)

Cette voie reprend le nom de la rue éponyme voisine.


Christophe Joseph Alexandre Mathieu de Dombasle
(Nancy, 26 février 1777 - Nancy, 27 décembre 1843)
Agronome


Port-Royal (boulevard de)

Ce large boulevard est ouvert en 1866. Il doit son nom au voisinage de l'ancienne Abbaye de Port-Royal-de-Paris, dont les bâtiments subsistants sont aujourd'hui intégrés à l'Hôpital Cochin.

Abbaye de Port-Royal-de-Paris


Neuve-Tolbiac (rue)

Ouverte en 1995, dans le cadre de l'aménagement de la ZAC Paris-Rive-Gauche, cette voie reprend le nom de la rue éponyme voisine.


Zülpich
Ville du Land allemand de Rhénanie-du-Nord-Westphalie

Faubourg-Saint-Antoine (rue du)

Cette voie reprend l'ancien chemin, qui au-delà de l'enceinte de Charles V, prolongeait la Rue Saint-Antoine et menait à l'Abbaye de Saint-Antoine-des-Champs, transformée en hôpital depuis la Révolution.

Abbaye de Saint-Antoine-des-Champs


Saint-Maur (rue)

Cette rue empreinte pour partie l'ancien chemin qui menait de l'Abbaye de Saint-Maur, dont elle reprend le nom, vers l'Abbaye de Saint-Denis.

Abbaye de Saint-Maur


Saint-Denis (porte)

Située sur l'emplacement de l'une des portes de l'ancienne enceinte de Charles V, ce passage en forme d'arc de triomphe, érigé en 1673 à la gloire de Louis XIV, reprend le nom du boulevard éponyme voisin. Pour mémoire, ce dernier avait lui-même été ouvert quelques années auparavant sur l'emplacement d'une portion de cette même enceinte.


Saint-Denis
Commune du département de Seine-Saint-Denis


Abbaye royale de Saint-Denis

La Bruyère (rue)

Cette voie ouverte en 1824 reçoit le nom de celui qui reste dans les mémoires comme l'auteur des fameux Caractères.

Jean de La Bruyère
(Paris, 17 août 16451 - Versailles, 11 mai 1696)
Avocat, puis Trésorier-Général de France à Caen
Moraliste
Membre de l’Académie Française (1693)


La Boétie (rue)

Cette rue est ouverte en 1777 par le Comte d'Artois, futur Charles X, sur les terrains de l'ancienne Pépinière royale. Elle s'appela Rue d'Angoulême-Saint-Honoré, puis sous la Révolution, Rue de l'Union. Sous la Monarchie de Juillet elle s'appela Rue de la Charte, sous le Second Empire, Rue de Morny, puis Rue Pierre Charron. Elle reçoit en 1879 son nom actuel en hommage à l'auteur du Discours de la servitude volontaire. A cette date, la rue voisine, appelée aujourd'hui Rue Jean-Mermoz, s'appelait alors la Rue Montaigne. Rappelons que La Boétie était un ami intime de Montaigne.

Etienne de La Boétie
(Sarlat, 1er novembre 1530 - Germignan, 18 août 1563)
 Philosophe


Las Cases (rue)

Cette voie est ouverte en 1830 sur l'emplacement du Couvent des Dames de Bellechasse. Elle doit son nom à celui dont la mémoire a gardé le nom comme l'auteur du Mémorial de Sainte-Hélène.

Emmanuel Augustin Dieudonné Joseph de Las Cases
(Blan, 21 juin 1766 - Passy-sur-Seine, 15 mai 1842)
Marquis de Las Cases
Baron de Las Cases et de l'Empire (1809),
puis Comte de Las Cases et de l'Empire (1810)
Conseiller d'Etat
Chambellan de l'Empereur
Député de la Seine (1831)


Maintenon (allée)

Ouverte en 1931, cette impasse reprend sans doute le nom de celle qui fut la seconde épouse morganatique de Louis XIV. L'information n'étant pas documentée par la nomenclature officielle des rues de Paris, il se peut aussi qu'elle doive son nom simplement à la commune d'Eure-et-Loire, ancien siège du marquisat éponyme.


Françoise d’Aubigné
(Niort, 27 novembre 1635 - Saint-Cyr-l'Ecole, 15 avril 1719)
Marquise de Maintenon
Gouvernante des Bâtards du Roi (1669)
Dame d'atours de la Dauphine (1680)
 Madame Scarron (1652) par son premier mariage


 Maintenon
Commune du département de l'Eure-et-Loir

Saint-Bernard (port)

Cette section des berges de Paris reprend le nom du quai éponyme voisin.


Collège des Bernardins


Guillemites (rue des)

Cette rue est ouverte en 1807 sur le jardin de l'ancien Couvent des Blancs-Manteaux. Depuis 1258, le lieu était occupé par les des Servites de Marie, qui en raison de la couleur de habit, étaient surnommés les "Blancs-Manteaux",  En 1274, le Pape suspend l'Ordre. Bien que rétabli quelques années plus tard, leur couvent parisien est attribué à l'Ordre de Saint-Guillaume, dit des "Guillemites". Bien que leur habit fut noir, le précédent surnom demeura attaché au lieu et par extension à ses occupants, qui, jusqu'à ce qu'ils en soient chassés par la Révolution, demeurèrent pour les Parisiens, les "Blancs-Manteaux".

Couvent des Blancs-Manteaux


Saint-Martin (porte)

Située sur l'emplacement de l'une des portes de l'ancienne enceinte de Charles V, ce passage en forme d'arc de triomphe, érigé en 1674 à la gloire de Louis XIV, reprend le nom du boulevard éponyme voisin. Pour mémoire, ce dernier avait lui-même été ouvert quelques années auparavant sur l'emplacement d'une portion de cette même enceinte.

Prieuré Saint-Martin-des-Champs

Palestro (rue de)

Cette voie existant depuis au moins le XVIIe siècle sous le nom de Rue Neuve-des-Petits-Pères, reçoit vers 1860 le nom de cette victoire des troupes franco-sardes de Victor-Emmanuel II de Savoie, sur l'armée autrichienne de Friedrich Zobel.

Palestro
Commune de la Région italienne de Lombardie


Eupatoria (passage d')

Cette impasse reprend, en 1877, le nom de la rue éponyme sur laquelle elle débouche.


Eupatoria - Євпаторія
Ville d'Ukraine

Porte-de-Pantin (place de la)

Cette place détachée de l'avenue du même nom en 1930, reprend le nom de la porte voisine éponyme.

Pantin
Commune du département de la Seine-Saint-Denis


Chevalier-de-La-Barre (rue du)

Cette ancienne voie de la commune de Montmartre, reçoit en 1885 sous la forme Rue de La Barre, puis en 1907, en pleine crise de la séparation de l'Eglise et de l'Etat, sous sa forme actuelle. Elle rend hommage à ce jeune aristocrate, qui fut condamné à mort à la fin du XVIIIe siècle, pour sa vie licencieuse et pour blasphème. Depuis cette époque le personnage est devenu l'une des icônes des mouvements anticléricaux français.

François-Jean Lefebvre
(Férolles-en-Brie, 12 septembre 1745 - Abbeville, 1er juillet 1766)
Chevalier de La Barre


Villaret-de-Joyeuse (square)

Cette impasse reprend le nom de la rue éponyme sur laquelle elle débouche.


Louis Thomas Villaret de Joyeuse
(Auch,  29 mai 1747 - Venise, 24 juillet 1812)
 Contre-Amiral (1793), puis Vice-Amiral (1794)
Député du Morbihan au Conseil des Cinq-Cents (1796)
Capitaine-Général de la Martinique et de Sainte-Lucie (1802)
Gouverneur-Général de Venise (1811)


Boulainvilliers (rue de)

Cette rue est ouverte sur les jardins de l'ancien Château de Passy, rebaptisé en 1747, du titre de son nouveau propriétaire.

Gabriel Henri Bernard
(10 décembre 1724 - Paris, 24 juin 1798)
Marquis de Boulainvilliers (Ballainvilliers), Seigneur de Glisolles, de Gaudreville, de La Haye


La Motte-Picquet (avenue de)

Cette large voie est ouverte vers 1680 sous le nom d'Avenue de l'Ecole-Militaire. Elle reçoit son nom actuel en hommage à l'un des plus célèbres marins français de la fin du règne de Louis XV et du règne de Louis XVI. Rappelons que la rue est située à la fois au voisinage de l'Ecole Militaire et du Champ de Mars.

Toussaint-Guillaume Picquet
(Rennes,  1er novembre 1720 - Brest, 10 juin 1791)
Comte de La Motte (dit La Motte-Picquet)
Chef d'Escadre (1778), puis Lieutenant-Général des Armées navales (1782)


Porte-de-Vanves (place de la)

Cette place ouverte en 1929 sur l'emplacement du bastion n'° 75 des anciennes fortifications parisiennes, reçoit dès l'origine le nom de l'ancienne porte voisine éponyme.

Vanves
Commune du département des Hauts-de-Seine


Tolbiac (villa)

Cette impasse reprend le nom de la rue éponyme sur laquelle elle débouche.


Zülpich
Ville du Land allemand de Rhénanie-du-Nord-Westphalie

Changarnier (rue)

Cette rue est ouverte vers 1930, dans le cadre des aménagements préparatifs à l'Exposition coloniale de 1931. Dès 1932, elle reçoit le nom de militaire et homme politique, qui après avoir participé à la conquête puis à l'organisation de l'Algérie, fut entre autres choses candidat royaliste à l'élection présidentielle de 1848.

Nicolas Anne Théodule Changarnier
(Autun, 26 avril 1793 - Versailles, 14 février 1877)
Maréchal de Camp (1840),
puis Lieutenant-Général (1843, confirmé Général de Division en 1848)
Gouverneur-Général d'Algérie (1847)
Député de la Seine (1848)
Député des Bouches-du-Rhône (1849), de la Somme (1849), de la Seine-et-Oise (1849)
Sénateur (1875)


Asile (passage de l')

Ouvert en 1834, ce passage devait son nom à l'Asile Popincourt voisin.


Jean de Popincourt
( ? - 21 mai 1403)
Seigneur de Noisy, du Marchez, de Sarcelles
Conseiller, puis Président à Mortier (1388), puis Premier Président (1399) au Parlement de Paris


Wauxhall (cité du)

Ce petit passage est ouvert en 1841 sur l'emplacement de l'ancien Jardin du Wauxhall. Celui-ci devait son nom à la présence en ce lieu d'un établissement de plaisir ouvert au XVIIIe sous le nom de Wauxhall de Torré, Jean-Baptiste Torré en étant le fondateur. Le mot "Wauxhall" ou "Vauxhall" renvoie lui-même à un célèbre lieu de divertissement londonien ouvert en 1661 dans les jardins de Kennington, au coeur du quartier de Wauxhall. Ce quartier de Londres devait lui-même son nom au vieux manoir de "Falkes' Hall" qui dominait, ce qui au Moyen-Age était alors un fief campagnard.
Du coup, un peu d'histoire s'impose.
Depuis le XIe siècle, cette zone de ce qui est alors la campagne de Londres, est occupée par le vaste domaine et manoir de South Lambeth, propriété de la famille de Redvers. En 1216, Falkes (Foulques) de Breauté, un chevalier normand occupant d’importantes fonctions à la cour du Roi d’Angleterre, épouse Margaret (Marguerite), veuve de Baldwin (Baudouin) de Redvers et s’installe à South Lambeth. Sous l’influence de son célèbre occupant, le domaine prend alors le nom, ou plutôt le surnom, de « Falkes’ Hall » (Domaine de Foulques). Avec le temps, le nom évoluera en Fauxhall, puis Vauxhall, et restera associé à l’endroit, devenu par l’expansion urbaine, quartier à part entière de Londres.

Foulques (Falkes) de Breauté
( ? - 1226)
Chevalier anglais


Londres (cité de)

Cette voie privée ouverte en 1840, reprend le nom de la rue éponyme sur laquelle elle débouche.


Londres (City of London)
Capitale du Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d'Irlande-du-Nord

Comtesse-de-Ségur (allée de la)

Voie principale du Parc Monceau, autrefois appelée Allée Velasquez, elle reçoit en 1978 le nom de l'inoubliable auteur des Malheurs de Sophie ou encore des Mémoires d'un âne.


Sophie (Sofia Fiodorovna) Rostopchine
(Saint-Pétersbourg, 1er août 1799 - Paris, 9 février 1874)
 Comtesse consort de Ségur (1819)
Femme de lettres

Général-Bertrand (rue du)

Ouverte en 1790 sous le nom de Rue des Accacias, cette voie devient en 1847 la Rue Bertrand, nom ultérieurement modifié pour sa forme actuelle. Elle rend hommage à ce Général d'Empire, notamment célèbre pour avoir permis la construction des "Ponts de Lobau", qui jouèrent un rôle clé dans la décision à Wagram.

Henri Gatien Bertrand
(Châteauroux, 28 mars 1773 - Châteauroux, 31 janvier 1844)
Comte Bertrand et de l'Empire (1808)
Général de Brigade (1801), puis Général de Division (1807)
Grand-Maréchal du Palais de l'Empereur (1813)
Pair de France (1815)
Député de l'Indre (1831)


Grands-Augustins (rue des)

Cette rue ouverte dans le courant du XIIIe siècle, sous le nom de Rue de l'Abbé-de-Saint-Denis. Ce nom évoluera par la suite en Rue du Collège-Saint-Denis, Rue des Ecoles-Saint-Denis, Rue des Ecoliers-de-Saint-Denis, Rue des Charités-Saint-Denis. Elle reprendra par la suite le nom du couvent, qui allant jusqu'au quai éponyme, s'étendait jusqu'à la Rue Christine.


Couvent des Grands Augustins

Lanneau (rue de)

Cette ancienne voie parisienne, ouverte vers la fin du XIIe siècle dan le Clos Bruneau, s'est longtemps appelée Rue Saint-Hilaire ou Rue du Mont-Saint-Hilaire. Elle fut aussi connue sous le nom de Rue Fromentel ou de Rue du Puits-Certain. En 1885, elle reçoit son nom actuel en hommage à ce prêtre défroqué qui, sous la Révolution acheta l'ancien Collège Sainte-Barbe pour le ré-ouvrir comme très laïc et très républicain "Prytanée français". Il dirigera l'établissement jusqu'à sa mort.

Pierre Antoine Victor de Lanneau de Marey
(Bard-lès-Époisses, 25 décembre 1758 - 1830)
Prêtre théatin (jusqu'en 1791)
Directeur du Prytanée français (1798)

Guéménée (impasse)

Ancienne voie d'accès secondaire à l'Hôtel des Tournelles, cette impasse prend son nom actuel au XVIIe siècle, en référence à l'Hôtel de Guémené, dont l'entrée principale était située aux 6 et 6bis actuels de la Place des Vosges. Celui-ci devait son nom à son achat par le Duc de Montbazon vers 1637, sa famille le conservant jusqu'en 1782.


Louis VII de Rohan
(Couzières, 5 août 1598 – Paris, 18 février 1667)
Comte de Rochefort, puis Duc de Montbazon et Pair de France (1654),
Prince de Guémené et Seigneur de Coupvray
Conseiller d’Etat (1656)
Grand-Veneur de France (1654)


Saint-Martin (boulevard)

Ce boulevard est ouvert à partir de 1670, sur une portion de l'emplacement de l'ancienne enceinte de Charles V, abattue quelques années auparavant. Il reprend le nom de la rue éponyme qu'il traverse.

Prieuré Saint-Martin-des-Champs

Saint-Denis (galerie)

Cette galerie couverte, dont le nom reprend celui de la rue éponyme voisine, est ouverte à partir de 1798. Comme l'ensemble du Passage du Caire, dont elle fait partie, elle est construite sur le terrain de l'ancien Couvent des Filles-Dieu détruit peu avant.


Saint-Denis
Commune du département de Seine-Saint-Denis


Abbaye royale de Saint-Denis

Vincennes (porte de)

Située sur l'ancienne porte éponyme des fortifications parisienne, elle reprend le nom de la commune voisine.


Vincennes
Commune du département du Val-de-Marne


Pantin (porte de)

Cette porte des anciennes fortifications parisiennes reprend le nom de la commune voisine éponyme.

Pantin
Commune du département de la Seine-Saint-Denis


Dancourt (rue)

Cette voie de l'ancienne commune de Montmartre, était initialement appelée Rue du Théâtre, en raison de la présence en ce lieu du Théâtre de Montmartre, depuis rebaptisé Théâtre de l'Atelier. En 1869, cette voie est rebaptisée du nom de l'un des grands comédiens et auteurs dramatiques français de la fin du règne de Louis XIV et du début de celui de Louis XV.

Florent Carton dit Dancourt
(Fontainebleau, 1er novembre 1661 - Courcelles-le-Roi, 6 décembre 1725)
Pensionnaire (1685), puis Sociétaire (1718) de la Comédie Française
Comédien et Auteur dramatique

Yves-du-Manoir (avenue)

C'est en 1929, que cette voie privée, jusque là connue comme l'Avenue du Bois, prend le nom de ce joueur de rugby et aviateur, décédé quelques mois plus tôt dans un accident d'avion.

Yves Frantz Loys Marie Le Pelley du Manoir
(Vaucresson, 11 août 1904 - Reuilly, 2 janvier 1928)
Sous-Lieutenant d'aviation
Joueur de rugby et Aviateur


Norvège (carrefour de)

C'est depuis 1953, que ce carrefour situé dans le Bois de Boulogne au voisinage de l'Hippodrome de Longchamp, rend hommage à cette monarchie scandinave réputée pour sa tranquillité et sa qualité de vie.


Norvège


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