Ce Résistant de la première heure, contribuera entre-autres, au ralliement du Moyen-Congo à la France-Libre, organisera les défenses à Bir-Hakeim, puis à la tête de la 1re Division de la France Libre, participera avec Juin puis de Lattre aux opérations en Italie et en Provence. Bien après la guerre, les événements d’Algérie le sortiront en 1962, pour son malheur, de sa retraite.
Edgard de Larminat
(Alès, 29 novembre 1895 – Paris, 1er juillet 1962)
Général de Brigade (1941), puis Général de Division (1942),
puis Général de Corps d’Armée (1943), puis Général d’Armée (1953)
Gouverneur Général de l’AEF (1940)
Chef d’Etat-Major-Général des FFL (1943)
Inspecteur Général des Troupes d’Outre-Mer (1945)
D'hermine plain.
Tiens, je suis assez surpris que quelqu'un ait utilisé les armes de Bretagne (il n'y a peut-être pas de lien, mais il est impossible de ne pas y penser).
RépondreSupprimerNon, effectivement il n'y a pas de lien. La famille de Larminat est originaire de Lorraine (région de Thionville).
RépondreSupprimerJe connais en plus de celle-ci au moins deux autres familles (Sainte-Hermine, et Quinson) qui port(ai)ent l'hermine plain, sans que cela ne fasse directement référence à la Bretagne, et il y en a certainement d'autres.
Avec les armoiries simples, ce sont des choses qui arrivent.
Disons que cela surprend car c'était les armes d'une maison souveraine et par extension de sa province.
RépondreSupprimerY a-t-il eu des cas de famille utilisant les armes de France sans avoir de lien avec la couronne ? Ça me semble douteux car ça friserait avec le lèse-majesté, mais sait-on jamais.
Dans une vaste zone autour de la vallée rhénane, que ce soit en Allemagne, en Belgique ou au Pays-Bas, les fleurs de lys se rencontraient assez couramment. Dans ce "volume", il y a donc certainement des familles qui les avaient/ont d'or sur champ d'azur.
RépondreSupprimerTrès intéressant. Il y aurait sûrement beaucoup à faire sur la répartition géographique des meubles, mais ce serait un travail titanesque.
RépondreSupprimer